Introduction
Dans cet article, nous allons d’abord éclaircir cette notion d’opportunité qui met certaines personnes (parfois en situation précaire) mal à l’aise et nous démontrerons que c’est possible pour quiconque sera en mesure d’appliquer le principe appelé : « Boucle de résilience ». En effet, l’opportunité n’est pas une fatalité et il convient de se mettre à la place de celles et ceux qui en sont encore à se poser la question de savoir en quoi cette catastrophe, arrivée au pire moment, remettant nos projets en question peut-elle bien constituer une opportunité? Admettons que pour certains-nes d’entre-nous, ça reste fort abstrait, irréaliste et complètement vide de sens.
Ensuite, nous proposerons 9 pistes issues d’un modèle mis au point par les systémiciens de l’IFEAS (Institut Francophone d’Etudes et Analyse Systémique) , aujourd’hui devenu « College Polytechnique International ». Avec ces 9 pistes, nous comprendrons comment piloter un processus de changement indispensable pour atteindre la résilience et la lucidité nécessaires pour entrevoir, comprendre et saisir les opportunités si convoitées.
Covid 19 : un virus microscopique ébranle le système mondial!
Février 2020, la province de Wuhan, en Chine, déclare être frappée par une épidémie de Coronavirus. A partir de là, tout va aller très vite et la planète entière sera déstabilisée par le virus appelé : Covid 19.
Au moment d’écrire ces lignes, nous sommes le 13 avril 2020. En Belgique, les mesures de confinement ont été ordonnées le 14 mars, elles vont certainement se prolonger jusqu’en mai voire juin 2020. Les réseaux sociaux, la télévision, la presse, toute l’actualité est maintenant tournée vers cette crise humaine et économique majeure que certains comparent déjà à la crise de 1929. Un fait est certain : il y aura un avant et un après Covid19.
L’économie entière retient son souffle et toutes les activités commerciales sont impactées. Certaines vont malheureusement être englouties par la faillite, d’autres vont survivre mais à quel prix…
En somme, la situation s’impose de façon très binaire : survivre ou mourir!
Crise majeure de type Covid 19 : catastrophe ou opportunité?
Mettons-nous d’accord tout de suite, c’est avant tout une douloureuse catastrophe ! Je suis en contact quasi permanent avec des personnes en début de parcours en tant qu’indépendants-tes et : le Covid 19, c’est une monstrueuse CATASTROPHE!
Comment peut-on trouver en cette situation la moindre opportunité lorsqu’on se trouve acculé au bord du gouffre? En fait, je me demande si le terme « opportunité » est le plus adéquat? Si nous parlions plutôt de « résilience ». J’ai ouvert le Larousse et je suis retourné consulter la définition de la résilience. La résilience y est définie sur trois axes :
- psychologique : l’aptitude d’un individu à se construire et à vivre de manière satisfaisante en dépit de circonstances traumatiques.
- écologique : la capacité d’un écosystème, d’un biotope ou d’un groupe d’individus (population, espèce) à se rétablir après une perturbation extérieure (incendie, tempête, défrichement, etc.).
- informatique : la capacité d’un système à continuer à fonctionner, même en cas de panne. (extrait de https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/r%c3%a9silience/68616?q=r%c3%a9silience#67865 )
Mon raisonnement est le suivant : d’abord recourir à la résilience, pour ensuite voir ou entrevoir les opportunités à saisir.
La résilience implique du changement. Du changement de point de vue, du changement dans les actes, du changement mineur, du changement majeur. Le changement est intimement lié à la résilience. Nous comprendrons le rôle capital du changement dans la capacité de résilience mais nous ne l’introduirons pas comme facteur dans la formule de la boucle d’opportunité (pour simplifier la formule), partant du principe que Résilience est forcément synonyme de changement.
Allons plus loin et introduisons le second facteur : « lucidité »; pour créer une boucle à laquelle nous référer pour reprendre pied : Résilience X Lucidité = Opportunité. Le principe est le suivant : combiner résilience et lucidité pour créer des opportunités. Nous venons de créer un cercle vertueux : « la boucle de la résilience ».

Ainsi, à la question posée dans le titre, nous pouvons en déduire qu’une crise peut se transformer en opportunité si nous sommes d’abord capables de résilience (donc de changement) avec lucidité (réalisme, objectivité, pragmatisme…) pour être ouverts aux opportunités, les reconnaître et les saisir.
9 points concrets pour réussir le défi du changement face à une crise majeure.
Préambule
Il faut d’abord que je vous explique que les 9 pistes ont leur propre histoire, un fondement. J’ai longtemps côtoyé des systémiciens (dont vous pouvez trouver certains d’entre-eux ici : https://www.polytechnique.education/) et ils m’ont conduits à envisager la vie, les situations, les événements, les changements de façon systémique. En très bref et très vulgarisé : une situation comme celle de cette crise est complexe. C’est à dire qu’il y a un nombre très important de facteurs liés, en interaction. La questions est donc d’agir de façon globale pour influencer le système.
En clair, la crise Covid 19 bouleverse notre système et c’est rien de le dire. Nous sommes donc confrontés à une situation complexe (c’est à dire qu’il y a une multitude de facteurs liés en interaction) qui nous anéanti. En plein désarrois, la grande difficulté est de décider par quoi commencer car c’est plutôt la confusion et notre cerveau focalise sur le danger. Situation normale pour tout individu peuplant cette planète.
C’est là qu’entrent en jeu les fameuses 9 pistes. Les 9 pistes représentent, pour moi, un modèle (une méthode) systémique. C’est à dire que dans la confusion, je me réfère à ce modèle comme si c’était une carte pour me repérer dans la tempête où je subis les événements. Cette carte me guide dans le choix d’un cap pour évoluer au sein de cette énorme confusion. Rester sur place : c’est couler. Avancer c’est s’offrir une chance de sauver le navire. J’avance en suivant le principe de ce que j’ai appelé : « la roue du changement » (nom officiel : table à tracer).
Les 9 pistes se travaillent dans un ordre aléatoire. Si elles portent des numéros, c’est uniquement pour les identifier. En systémique j’ai compris qu’il n’y a pas forcément de chronologie, de logique Cartésienne.

Point N° 1 : Prise de conscience.
La prise de conscience, dans le cas précis d’une crise majeure comme celle du Covid 19, c’est sortir du déni, regarder la réalité en face, se ressaisir après avoir accusé le coup. C’est ici qu’entre en piste la question de la résilience. En deux mots, c’est : se relever après s’être écroulé au tapis.
En effet, prendre conscience, c’est retrouver rapidement sa lucidité pour se rendre capable d’effectuer le travail du point numéro 2 : l’évaluation.
Point N°2 : Evaluation
Evaluer la situation avec lucidité (la lucidité intervient de façon très sensible dans ce point) : c’est mesurer, connoter. C’est ici que l’on râle, que l’on peste pour purger les émotions dans le but de passer aussi rapidement que possible à l’évaluation objective de la situation. Attention car, à priori, tout est évalué de façon négative et c’est normal. Vous comprendrez que les interactions itératives entre les 9 points vont influencer la connotation; un peu comme dans un projet en mode « AGILE ».
La résilience, c’est passer d’une évaluation négative à quelque chose de positif.
Evaluer c’est calculer, analyser, comparer, relativiser, peser, …
Exemple sur cas vécu : une entrepreneuse s’effondre, submergée par les émotions, elle perd pied. Ses activités seront à l’arrêt et son état émotionnel prend le dessus. Les difficultés sont là et sa réaction est compréhensible (d’ailleurs, nous sommes toutes et tous susceptibles de craquer de la sorte). Toutefois c’est là que réside le principal danger : s’effondrer et renoncer. Nous avons évalué la situation, aligné les chiffres, analysé l’agenda, soupesé les éléments en présence pour évaluer que les difficultés sont effectives pour une période de 4 mois. Il faut tenir 4 mois! Est-ce possible dans le cas présent? Oui! Evaluation négative transposée en perspective (plus) positive. Notre entrepreneuse se ressaisit.
Point N°3 : Planifier
Prendre l’agenda et fixer des dates. Planifier les tâches, les actions. S’accrocher à un planning pour maintenir un rythme d’activité qui s’avèrera rapidement salutaire. Plus que jamais, dans une situation comme celle du confinement lié au Covid 19, il est important de se fixer des objectifs clairs (SMART). Car sans planning, pas de mesure du temps et en période de confinement, manquant de ressources externes, nous sommes exposés à une dangereuse tendance à l’inactivité.
Exemple sur cas vécu : reprenons notre exemple. Nous nous sommes imposé un planning afin de concrétiser les tâches et les actions à accomplir. Le tout sera de s’y tenir mais ça, c’est pour le point N°9…
Point N°4 : Agir
C’est une évidence et tous les experts en gestion de crises, les sociologues, les psychologues, les coaches nous le diront : s’activer, de façon régulière, avec des rituels est un des facteurs clés pour trouver une chance de s’en sortir.
Agir, c’est aussi sortir les projets du frigo et les mettre en oeuvre. Agir, c’est mettre de l’ordre dans les affaires, réaliser les tâches en suspend… C’est aussi garder une discipline de personne active : se lever à heure fixe, s’habiller pour travailler, si possible se trouver un espace dédié à l’activité professionnelle et tout ce qui permettra de rester une personne active.
Exemple sur cas vécu : dans le cas de notre exemple « fil rouge », nous avons déterminé des actions concrètes à réaliser (une liste de tâches avec contrôle) pour activer la communication sur un sujet en rapport avec des solutions de sortie de crise.
Point N°5 : Communiquer
En période de confinement, ce point relève du défi. Toutefois, nous avons maintenant une panoplie de moyens de communication à notre disposition et il s’agit de les mettre à profit dans le sens des objectifs qui ont été fixés. Visio-conférences, webinaires, création de groupes de soutien, de groupes de discussion, téléphone, lectures web ou papier…
C’est aussi le moment pour émettre des messages porteurs de contenus sur votre métier, votre proposition de valeur. Activer les réseaux sociaux même si tout le monde y est ! C’est le moment pour travailler sur son mix de communication, son « éco-système » et le ré-évaluer ou le transformer (dans ce cas, vous faites Point N°4 + Point N°5 en même temps) (c’est très bien!)… C’est le moment pour faire plus de communication commerciale et moins de communication identitaire!
Prenez des nouvelles de vos clients, évaluez (Point N°2) avec eux les perspectives, prenez le pouls de votre secteur en posant des questions, en vous intéressant aux éléments extérieurs… Sortez de votre coquille! Sortez du mutisme!
Exemple sur cas vécu : en abordant ce point, notre jeune entrepreneuse s’est aperçue qu’elle pouvait prendre contact avec des prospects pour envisager la reprise. Dans son cas, c’est possible car ce sont des clients institutionnels. Sans communiquer, elle en serait encore à penser que tout est fini. L’espoir renaît!
Point N°6 : Consulter le stock de solutions
Nous avons toutes et tous vécu des tas d’expériences, nous avons affronté des difficultés et les avons résolues. Ces difficultés se sont parfois avérées plus accessibles que nous ne le pensions. Nous avons en nous un stock de compétences (compétences transversales et/ou transférables) qui peuvent constituer un stock de solutions potentielles. Nous sommes déjà sortis de situations dangereuses : comment avons-nous procédé, avec quels moyens, avec quelles compétences?
Re-évaluez vos potentiels. Quelles sont vos aptitudes auxquelles vous pouvez faire appel en pareille situation? Regardez-vous avec indulgence et creusez en vous les pistes qui peuvent servir votre cause.
Fouillez dans votre stock de solution et sortez-en quelques unes pour les appliquer à la situation actuelle.
Exemple sur cas vécu : En faisant cet exercice avec notre jeune entrepreneuse au bord du gouffre, nous avons trouvé une variante de sa proposition de valeur rapidement commercialisable en tant que solution à la crise ambiante.
NDLR : ce qui est intéressant dans cet exemple, c’est que notre sujet est ancré dans ses processus et habitudes, dans un mode de pensée « formaté ». C’est l’exercice qui fera surgir une solution potentielle. Cette solution était en stock. Pour être concret, le business de notre jeune entrepreneuse est orienté B2B et constitue une solution en matière de gestion d’équipes (on fait très court). Nous avons trouvé une nouvelle façon d’appliquer ses méthodes et outils en B2C avec un rapport direct à la crise. Elle n’y avait pas pensé et pourtant c’était en stock!
Donc, vous possédez un énorme stock de solutions potentielles : fouillez-le!
Point N°7 : Créativité
En ce moment, tous les bons conseils recommandés par une armée d’experts-tes nous enjoignent à faire travailler notre créativité pour innover! C’est à ce moment là qu’ils nous sortent la tirade de « la crise est une opportunité ». Et j’en conviens, je l’ai moi aussi scandée.
C’est grâce au travail avec les futures entrepreneuses/entrepreneurs que j’ai pris conscience du vide de mon discours : » première recommandation : tu dois faire preuve de créativité ». La question ne s’est pas fait attendre : » coach, comment faire pour être créatif? ». C’est à ce moment là que j’ai pris conscience du grand vide sous mon conseil .
Soyons clairs : la créativité est absolument nécessaire pour réussir à trouver des opportunités dans le cas d’une crise majeure telle que celle due au confinement pour cause de Covid 19. Et, là dessus, nos sommes tous d’accord.
Etant donné la question : « comment faire pour être créatif? », il est question ici de vous proposer quelques pistes, certes sommaires, mais concrètes et réalistes.
Utiliser la méthode du : « et si… ». Questionnez-vous sur les projets les plus fous. Renversez la situation. Projetez de devenir Astrophysicienne, influenceur, pianiste dans un bar… Toutes les hypothèses sont permises et obligez-vous à les aborder : acceptez-les absolument, sans limites, sans inhibition : « et si la crise devait se poursuivre? ». « Et si je me lançais dans …. ». La méthode du « et si… », « et si… »…
Faites du benchmarking. En marketing, cette discipline consiste à examiner attentivement ce que nos concurrents font mieux que nous. Cette pratique peut générer de nouvelles idées ou nous faire prendre conscience (Point N°1) de nos potentiels dans de nouvelles directions. « Mes concurrents me mettent en colère contre moi, ils profitent si parfaitement des opportunités, ils osent tout, ils surfent sur la vague des solutions… ». C’est du vécu et je vous promets que ce constat a boosté ma créativité!
Sortir les projets du placard. Sortez ce projet que vous avez mis de côté parce que vous ne vous en sentiez pas encore capable… Examinez-le sous toutes ses coutures. Ensuite : « Et si je le mettais enfin en oeuvre? ».
Convertir le négatif en positif. Cette discipline requiert des efforts car nous sommes assez naturellement négatifs mais elle s’avère payante. En effet, il s’agit d’inventer des résultats positifs en rapport avec des éléments négatifs. Par exemple, trouver les bénéfices du fait d’être timide. Ou encore, trouver les avantages du fait de ne rien connaître dans la discipline à laquelle nous aimerions nous destiner. Etc…
Exemple sur cas vécu : Dans le cas de notre jeune entrepreneuse qui nous sert de « fil rouge », c’est la méthode du « Et si… » qui a permis de dégager une variante de la proposition de valeur commercialisable assez rapidement. Nous avons levé les freins avec la méthode du « Convertir le négatif en positif ».
Point N°8 : Accord
Être ok avec le changement envisagé, c’est parvenir à vaincre la résistance au changement. C’est à dire : passer de l’idée à la mise en pratique. Le point N°8 est le point où vous prenez la décision d’appliquer ce changement dans votre quotidien.
Par définition, le changement représente un saut sans l’inconnu. C’est cette notion d’inconnu qui représente, selon moi, le fait que nous soyons réticents au changement.
A ce stade, j’explique souvent que se trouver au point N°8, c’est se trouver juste à la frontière entre le connu et l’inconnu. Derrière moi, c’est mon système tels que je le connais, imparfait mais rassurant. Devant moi, c’est l’inconnu, c’est un système dans lequel je vais appliquer du changement, je suis incapable d’imaginer ce que cela va produire comme résultat et c’est bien ceci qui me fait hésiter. Être OK avec le changement, c’est accepter la nouvelle version du système (un peu comme lorsque nous appliquons une mise à jour de nos programmes informatiques) et s’apprêter à appliquer de nouveaux changements au cas où il serait nécessaire d’appliquer des ajustements : nous sommes à fond dans une démarche de « Lean Startup » en mode « Agile » (et je prends grand plaisir à vous diriger vers un article de Philippe Ledent qui nous livre son avis sur ce qu’est le « mode agile »). !!!
Point N°9 : votre système mis à jour
Pratiquez vos changements au quotidien! Attention, le risque de retour aux modes de fonctionnement habituels, en plein milieu des freins et des inhibitions est fréquent et omniprésent!
Si vous avez décidé d’acquérir de plus fortes compétences en communication digitale, mettez en pratique de façon quotidienne. Si vous avez décidé d’améliorer votre efficacité en matière de pensée positive, pratiquez le posilandais au quotidien (placement de produit évident!) .
Le truc, ici, c’est de prendre des décisions sur des changements accessibles (découper les grands changements en un programme de petits changements) et praticables au quotidien. La systémique m’a appris que le oindre changement injecté dans votre système, ce changements, si anodin soit-il, va induire d’autres changements… un peu comme avec l’effet boule de neige. Donc : de petits changements à appliquer au quotidien.
Exemple sur cas vécu : Et, pour en terminer avec notre exemple fil rouge : le changement qui a été appliqué est constitué par la nouvelle variante B2C de la proposition de valeur. Notre jeune amie applique, chaque jour, les principes de base de la communication B2C afin d’offrir à son projet une chance de l’aider à tenir pendant les 4 mois qui vont s’avérer difficiles. nous avons aussi opéré des changements très concrets sur les contenus de la communication commerciale en passant d’un style de communication de type identitaire à un style de communication plus commerciale. Voilà deux changements accessibles et réalistes qui s’imbriquent pour lever de nouvelles opportunités à exploiter en période de crise majeure.
En conclusion
Comprendre qu’une crise est une opportunité lorsque notre projet professionnel est gravement menacé, c’est beaucoup demander à tout être humain normalement constitué.
Avant d’imaginer la notion même d’opportunité, il est utile de préciser qu’il sera nécessaire de faire preuve de résilience (avec son lot de changements) avec lucidité (voire les faits avec pragmatisme et objectivité).
Pour atteindre la Résilience et la Lucidité sensés nous éclairer sur la notion d’opportunité, nous proposons d’agir sur un élément clé : le changement. Le changement est au coeur de notre capacité de résilience. Nous proposons un modèle en 9 points clés, appelé : « Roue de changement » (nom original : table à tracer). Appliquer ces 9 points dans un ordre aléatoire provoque une réaction systémique capable de nous conduire au changement, donc à la résilience + la lucidité, donc à la capacité de percevoir en cette situation dramatique les opportunités tant espérées.
Nous illustrons notre raisonnement par un exemple réel servant de fil rouge pour relier la théorie à quelque chose de concret.
Appliquer 9 points pour changer notre façon d’aborder la crise conduit à la résilience et la lucidité nécessaires à la naissance des opportunités. Courage!
Nous en ferons un sujet de formation à part entière.
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