La technique du dauphin est le fruit de la rencontre entre passion et frustration.
Passion : lorsqu’on se découvre une vocation pour la communication, il est clair que le métier de la vente constitue une magnifique opportunité de vivre, avec passion, au quotidien. Cette passion est nourrie par le sentiment d’être utile dans le sens où, le commercial présente l’offre à la demande. Tâche qui peut sembler ingrate mais néanmoins indispensable. Même si internet essaye de nous faire de l’ombre, il reste encore de nombreux domaines où l’offre requiert notre entremise pour être présentée à la demande… Et qui, à part nous, passionnés un peu dingues, peut prendre plaisir à promouvoir l’offre vers une demande capricieuse, parfois sourde, souvent exigeante, voire ingrate? Voilà pour la passion.
Frustration : celle de devoir exercer ce beau métier de communication, de rencontres, en utilisant des méthodes, des modèles, des pratiques à l’éthique discutable. Discutable, de mon point de vue. En effet, j’explique souvent l’énorme difficulté, poussée jusqu’au dégoût, que j’ai éprouvé à être contraint d’adhérer aux techniques, aux pratiques telles que : manipulation, « pied dans la porte », vocabulaire guerrier, mépris, condescendance… J’ai fréquenté un univers où, pour être vendeur, il faut être : « killer », « chasseur », « dur », « agressif », « requin »… (pauvre requin….) J’ai fréquenté un monde en contradiction qui recours à des méthodes agressives pour convaincre, gagner de la confiance, fidéliser … Schizophrène non?
Dauphin : ce dauphin est né de la fusion entre cette passion (pour le métier) et cette frustration (due aux pratiques). Devoir exercer un chouette métier avec un costume de requin (et franchement, je plains les requins…) devenait impossible. Alors, j’ai inventé une méthode avec des pratiques qui ouvrent la porte à l’empathie, à l’écoute, à la relation en confiance et c’est ainsi que le requin s’est transformé en dauphin.
Ces méthodes sont particulièrement intéressantes pour toutes celles et ceux qui sont confrontés-ées à la nécessité de vendre alors qu’ils-elles ne sont pas vendeurs-euses et/ou surtout à toues celles et ceux qui jettent le bébé avec l’eau du bain en cherchant à vendre « sans vendre » parce que la vente c’est sale et dégoutant…
Pour ces personnes, il y a donc une alternative : devenir dauphin de la vente
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